Recruter en local : une fausse évidence

Quand on dirige une PME, on pense souvent que le recrutement local est la voie la plus simple, la plus rapide et la plus sûre. On se dit que le fait d’avoir quelqu’un au bureau, juste à côté, va tout résoudre : la communication, la réactivité, l’intégration. J’y ai cru aussi. Pendant des années, j’ai vu des patrons de PME chercher à construire des équipes uniquement en local, en France ou en Belgique. Mais à force de gérer des recrutements longs, des départs précipités, des périodes d’essai ratées, ils ont fini par déchanter. Aujourd’hui, pour certaines fonctions bien précises, il semble plus pertinent de chercher des solution moins coûteuses et moins exigeantes en temps.

Un changement né d’un constat terrain

Je ne dis pas que tout doit être externalisé. Je ne dis pas que tout le monde devrait faire pareil. Je dis simplement que, dans mon expérience, certaines fonctions gagnent à être confiées à une équipe dédiée à distance. Ce choix n’est pas idéologique. C’est un choix stratégique, basé sur des constats concrets, vécus sur le terrain. Parce que à un moment il faut produire, et pour cela il faut des gens (de vrais humains, on ne peut pas tout faire avec l’intelligence artificielle).

Le recrutement local est devenu un casse-tête

Recruter en local, c’est devenu un défi. Même sur des postes classiques, comme assistant administratif, chargé de support client ou gestionnaire de back-office e-commerce. Le marché est tendu. Les bons profils sont soit déjà en poste, soit très volatils. Les attentes salariales explosent, même pour des missions simples. Et les niveaux d’exigence sont de plus en plus hétérogènes. J’ai personnellement recruté des profils à plus de 5000 € bruts par mois, qui peinaient à respecter les deadlines ou à suivre les process. J’ai vu des contrats se terminer au bout de deux mois, parce que “ce n’était pas ce à quoi je m’attendais”. Tout ça coûte cher en argent, en temps et en énergie.

Madagascar : un test transformé en modèle

Quand j’ai commencé à explorer la piste de l’offshore à Madagascar, c’était sans certitude. Juste l’envie de tester. J’avais besoin d’un profil fiable, rigoureux, pour gérer du suivi client et un peu de saisie de données. J’ai trouvé une collaboratrice brillante. Discrète, rapide, efficace, avec un français parfait, une logique irréprochable, et une envie de bien faire qui m’a bluffé. J’ai élargi l’équipe. Puis structuré les recrutements. Puis déployé ce modèle pour d’autres fonctions.

Des fonctions support clés externalisées avec succès

Aujourd’hui, mes équipes offshore à Madagascar couvrent plusieurs fonctions : administratif, support client, IT de niveau 1, développement informatique, marketing opérationnel. Ce sont des fonctions clés, qui demandent de la fiabilité, de la rigueur, de la répétabilité. Et justement, c’est ce que je trouve à Madagascar : une main-d’œuvre qualifiée, impliquée, stable, avec un excellent niveau de français et une forte culture du service. Le tout dans un cadre contractuel clair, avec des salaires cohérents et motivants localement, tout en étant très compétitifs par rapport à l’Europe.

Ce n’est pas qu’une question de coût

Ce n’est pas juste une question de coût. Bien sûr, les coûts sont divisés par deux, parfois trois. Mais ce n’est pas ce qui m’a convaincu. Ce qui m’a convaincu, c’est la qualité du travail livré, la constance, l’état d’esprit. La capacité à s’approprier les process, à faire mieux chaque semaine, à évoluer avec l’entreprise. C’est ça, la vraie valeur d’une équipe offshore bien encadrée.

Madagascar, une destination offshore sous-estimée

Madagascar a des atouts que peu de gens soupçonnent. Une population jeune, diplômée, polyglotte. Un écosystème numérique en plein essor. Une culture du travail sérieuse, centrée sur le service et le respect des consignes. Et un décalage horaire quasi nul avec la France ou la Belgique. Cela facilite énormément la communication, la synchronisation, le pilotage à distance. Contrairement à d’autres destinations offshore, Madagascar offre une vraie proximité culturelle et linguistique. Ce n’est pas un détail. C’est ce qui fait que ça fonctionne au quotidien. D’ailleurs, j’en parle plus en détail dans cet article dédié à Madagascar.

Un modèle structuré, reproductible, fiable

Évidemment, pour que ça marche, il faut structurer les choses. Recruter des profils fiables, former correctement, définir des process clairs, encadrer, donner du feedback. C’est pour ça que j’ai créé ScaleMyCrew : pour aider d’autres entreprises à faire la même chose. Pas en mode “plateforme low-cost”, mais en construisant de vraies équipes, stables, intégrées, accompagnées. Chaque collaborateur offshore à Madagascar que nous plaçons est sélectionné, formé, suivi. Et nos clients voient la différence. Si vous voulez voir un exemple concret, regardez ce cas client dans le secteur e-commerce.

Mes clients me disent qu’ils dorment mieux depuis qu’ils ont sauté le pas

Fini les problématiques de recrutement à tout va, fini les employés qui viennent se plaindre pour régulièrement, fini les arrêts maladies intempestifs… Ils savent que leurs fonctions support tournent. Que leurs collaborateurs sont présents, impliqués, et qu’il peuvent se concentrer sur leur cœur de business. Pas besoin de re-briefer de nouvelle personnes, la montée en compétence se fait directement par les équipes déjà en place en Madagascar. Ils sont heureux et ont envie de travailler et peuvent se projeter des année avec les entreprises de mes clients . Ce modèle a apporte de la tranquillité, de la visibilité, et de la performance.

Une solution stratégique pour les PME

Mes clients continuent de recruter localement pour certains postes, notamment les experts de chaque domaine, et les postes qui ont besoin d’une présence terrain. Mais pour tout le reste ? le réflexe, aujourd’hui, c’est de passer en offshore à Madagascar. Parce que c’est efficace, et les profils que ScaleMyCrew trouvent pour ses client sont intelligent et capable de s’adapter. Concrètement, ça fonctionne mieux et ca coûte moins cher.

Le recrutement offshore à Madagascar, un choix d’avenir

Ce modèle n’est pas réservé aux grands groupes. Ce n’est pas une solution de dernier recours. C’est une option stratégique, puissante, accessible à toutes les PME et startups qui veulent se structurer sans exploser leur masse salariale. Et qui veulent le faire sérieusement.

Liens utiles pour aller plus loin

Vous voulez approfondir ? Je vous recommande :

Et pour explorer les métiers que vous pourriez externaliser, jetez un œil à nos fiches métiers ou nos cas clients.

Si vous avez une fonction support à stabiliser, si vous cherchez à recruter mieux sans exploser vos budgets, je vous le dis franchement : regardez du côté de l’offshore. Regardez du côté de Madagascar.

Publié le 17/06/2025

Scale my crew
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